Julie a enfin dormi cette nuit. Donc maman aussi. Et ça fait du bien quand même.
Car depuis trois semaines maintenant, c’est réveils nocturnes. Toujours en colonisation du lit parental. Et quand je la mets au milieu de nous deux, mademoiselle ne manque pas de me signaler qu’il ne faut pas oublier le lapin rose, membre à part entière de la famille qui a bonne place sur l’oreiller parental. C’est amusant, parce que parfois le manège dure longtemps :
– réveil maman
– installation / colonisation
– envie de pipi
– ouverture turbulette
– descente du lit
– pipi au pot
– maman j’ai soif
– retour chambre parents
– escalade du lit (en toute discrétion.)
– tente avec les pieds
– recherche active du lapin rose
– acceptation retour dans turbulette pour que maman arrête de subir des coups de pieds intempestifs.
Pendant ce temps-là, Chéri dort du sommeil du juste. Rien ne le réveille, c’est incroyable.